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De PGP à Wikileaks, l’histoire des cypherpunks

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« Les cypherpunks sont des individus qui prônent l’utilisation proactive de la cryptographie dans le but d’assurer la confidentialité et la liberté des individus sur Internet, et qui sont à l’origine d’outils essentiels comme PGP, WikiLeaks, ou encore Bitcoin. Leur mouvement, créé aux États-Unis en 1992, a connu son âge d’or au ...

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« Les cypherpunks sont des individus qui prônent l’utilisation proactive de la cryptographie dans le but d’assurer la confidentialité et la liberté des individus sur Internet, et qui sont à l’origine d’outils essentiels comme PGP, WikiLeaks, ou encore Bitcoin. Leur mouvement, créé aux États-Unis en 1992, a connu son âge d’or au cours des années 90 dans le contexte de l’émergence du web et du partage de la cryptographie.

Le mouvement se forme officiellement le 19 septembre 1992, lors d’une première réunion organisée dans une maison privée de Berkeley, au bord de la baie de San Francisco en Californie. Cette réunion rassemble les esprits brillants des environs qui désirent discuter des implications de la cryptographie moderne dans l’évolution du monde. Parmi eux se trouvent Timothy C. May, ancien ingénieur d’Intel en retraite anticipée, Eric Hughes, mathématicien et programmeur, et John Gilmore, contributeur important du projet GNU et co-fondateur de l’Electronic Frontier Foundation, qui seront plus tard considérés comme les pionniers du mouvement.

Tim May y lit son Manifeste crypto anarchiste, écrit quatre ans auparavant, dans lequel il décrit la potentiel d’émancipation individuelle de la cryptographie et de l’anonymat. »

Article de Ludovic Lars à lire dans le Journal du Coin

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